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Le Maya est parti et La vie du Seigneur Mahavira : La délivrance de Chandana, partie 4/7

2020-08-15
Lecture Language:English
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Vous êtes un individu libre, un enfant de Dieu, un être du Paradis. Vous devez décider pour vous-même à quel point vous voulez être éclairé, et combien vous voulez travailler pour ça, combien vous voulez vous souvenir de votre Grand Moi, au lieu d’être asservi chaque jour, d’être esclave de ce monde physique et d’identifier votre Grandeur avec ce corps physique.

C’est drôle, mon chien va même mieux à présent. Hier soir, deux petits chiens étaient avec moi ; ils se relaient. Et normalement, son estomac est très petit et mince. Même si elle mange des collations, elle mange et ensuite elle monte, je lui donne ses en-cas et de l’eau, de l’eau propre. Et si c’est sale, je change. Je dois les nettoyer, et ensuite nettoyer le sol, etc. Hier soir elle n’arrêtait pas de manger, comme si elle n’avait pas vu de nourriture depuis dix ans. Normalement, elle ne mange pas comme ça. Elle mange lentement, un morceau à la fois. Hier, elle a pris tout le tas, tout est sorti d’ici et de là, tout le tas de nourriture, et elle a mâché, mâché, mâché et tous les trucs sortaient. C’était tellement drôle. Et je riais. J’ai dit : « Hein, que fais-tu ? » Si drôle, si drôle. Et elle voulait encore manger. Alors, j’ai regardé son ventre et j’ai dit: « Non, non, non, non, non ! Tu ne peux pas manger à nouveau. » Et j’ai ri aussi. J’ai dit : « Quoi ? Ton estomac est comme ça et tu veux encore manger ? Oh, non ! Demain, d’accord ? » Et puis elle était d’accord avec ça. Mais en réalité, son estomac était déjà plat. C’était comme si il n’y avait plus de ligne entre l’estomac et les côtes ou le dos. C’était comme un seul morceau, comme un gâteau, le tout ensemble comme ça. Et elle voulait encore manger hier soir. J’ai dit : « Qu’est-ce qui ne va pas ? » Ça alors ! J’ai arrêté de t’en donner parce que j’en ai déjà trop donné ; des en-cas et de la gomme végé à mastiquer pour les dents, deux, trois fois déjà. J’ai dit : « Pas plus, s’il te plaît, non. Tu peux recevoir plus de massages, plus de caresses. Masser, masser, gratter, gratter. Tu auras cela, mais tu ne peux plus avoir de nourriture. » Donc, elle était contente avec ça. Et puis elle était heureuse d’étirer toutes ses pattes et : « OK, Vous frottez où Vous voulez, partout où c’est possible, j’aime. » Ça lui plaisait. Mais j’ai dit : « Je n’ai pas beaucoup de temps pour te masser, alors le peu que je te frotte, sens-toi déjà chanceuse, le peu de temps que je le fais. »

Je n’ai pas l’impression d’être une très bonne gardienne. Je n’ai pas le temps de marcher avec eux. Seuls les assistants les promènent et les nourrissent et les emmènent chez les médecins, Dieu merci. Sinon, je ne pense pas que vous ne me verriez un jour. 7 chiens, c’est beaucoup de travail. Comme des enfants. Je n’ai pas eu d’enfants et maintenant j’ai ça. Oh, très similaire, je pense. Et ils ne vieillissent même pas. Ils ne deviennent pas des adolescents ou autre. Ce sont des bébés pour toujours. Toujours à faire des manières, à vouloir ceci, à vouloir cela, à vouloir rester dans les parages, à vouloir sauter sur votre lit, à vouloir qu’on frotte leur bidon, à vouloir être gratté ici, à vouloir qu’on gratte les oreilles. À masser ici et là, tout le temps. Jamais assez. Je suis toujours fatiguée, mais ils ne sont jamais fatigués. Comme les enfants. Comme les enfants, les bambins, ils ne sont jamais fatigués. Ou les enfants de deux, trois ans, ils ne sont jamais fatigués.

À propos de mon chien Good Love, je vous remercie tous. Parce que la dernière fois, quand nous avons parlé ensemble, j’ai mentionné mon chien. Et un ou deux d’entre vous ont dit : « Nous avons prié pour Vous, Maître. » J’ai dit : « Mais pourquoi ? » Et je pense qu’il y avait la sœur d’Irlande, l’Irlandaise blonde, elle m’a dit cela : « Parce que Vous traversez une période difficile. » Et j’étais très touchée. J’étais tellement touchée que j’ai oublié de dire merci. Alors, je la remercie aujourd’hui, je remercie tous ceux qui m’ont aidé à prier pour mon chien et pour moi. Je n’étais pas bien non plus à cause de l’inquiétude, du stress. Quand vous êtes stressé, vous avez aussi des douleurs ici et là, et vous avez des gaz qui montent, brûlant votre ce qui est ici, le tuyau. C’est beaucoup mieux maintenant. Et vous ne savez pas que le maya est même en train de marteler par-dessus tout ça, utilisant mon assistant pour les chiens et d’autres sortes de choses pour me déranger, beaucoup, beaucoup. Et en utilisant des tactiques de peur, des tactiques d’effroi et toutes sortes de choses – faisant des bruits, des bruits bizarres, des bruits inhabituels la nuit, dérangeant ma méditation, tout ça. Quand vous avez des problèmes, il semble que d’autres ennuis viennent. Mais quand on a de la chance, ce n’est pas comme si on en aura plus, n’est-ce pas ? C’est ce que nous disons en Âu Lac ou Vietnam, nous disons : « La chance ne vient pas ensemble ; seuls les ennuis viennent toujours ensemble. »

Assez de tout cela ! Parlons affaires maintenant. Soyons sérieux. Ce n’est pas celle-là pour la lecture. C’est une autre pour lire. La vie… comme si elle n’était pas assez compliquée. J’ai besoin de deux, trois paires de lunettes : Une pour le soleil, une pour protéger et une pour lire. C’est bien. Un type est venu acheter une paire de lunettes. Il a dit: « J’ai entendu dire que vous vendez des lunettes de lecture pour les gens, facile pour lire, pas vrai ? Alors, le vendeur a dit : « Oui, bien sûr. Nous avons beaucoup de lunettes de lecture ici. Laquelle vous plaît ? » Alors, il en a choisi une, et l’a mise puis il a choisi un livre, et a essayé de le lire. Et il a dit : « Comment se fait-il que je ne peux toujours rien lire ? » Alors, le vendeur a dit : « De ce côté, monsieur, de ce côté. » Et « Je ne peux toujours rien lire. » Alors, l’homme a dit : « Vous ne savez peut-être pas lire du tout ? » Alors, le client a dit : « Si je savais lire, je n’aurais pas besoin d’acheter ce truc. » Donc, ce ne sont pas les lunettes qui vous aident à lire. C’est votre capacité à lire.

De même, ce n’est pas le Bouddha qui fait de vous un Bouddha. C’est vous, vous-même. Vous l’avez en vous, et vous devez savoir comment faire sortir ce Bouddha pour qu’Il travaille pour vous. Je vous montre juste comment, mais je ne peux pas méditer pour vous. Je ne peux pas être éclairée pour vous. Sinon, il n’y aurait que moi d’éclairée et personne n’aurait besoin de rien faire. Vous êtes un individu libre, un enfant de Dieu, un être du Paradis. Vous devez décider pour vous-même à quel point vous voulez être éclairé, et combien vous voulez travailler pour ça, combien vous voulez vous souvenir de votre Grand Moi, au lieu d’être asservi chaque jour, d’être esclave de ce monde physique et d’identifier votre Grandeur avec ce corps physique. Vous devez vous rappeler que vous venez du Paradis. Vous devez vous rappeler que vous êtes grand. Vous devez toujours vous souvenir, même si vous ne le croyez pas. Parce que vous êtes si habitués à votre modeste physique que vous ne pouvez pas croire que vous êtes autre chose que votre corps physique. Mais vous devez vous souvenir. Tous les Bouddhas disent que vous avez Bouddha en vous. Tous les Maîtres disent que vous avez le Paradis, Dieu en vous. Pourquoi vous mentiraient-Ils ? Vous ne devez pas oublier que vous êtes grand, que vous êtes Bouddha. Ou peut-être pas encore un Bouddha réalisé, mais vous êtes un Bouddha et vous allez être Bouddha. La façon dont vous êtes, vous devez vous en souvenir. Que vous le croyiez ou non, vous devriez vous en souvenir tout le temps. Je sais que c’est difficile parce que vous êtes occupé et que vous êtes tellement habitué au corps physique, mais vous devez vous en souvenir.

Pour moi, c’est le contraire. Je dois me rappeler que je suis ici dans le monde et que je dois faire mon travail. Ce matin était très difficile pour moi, très difficile pour moi de venir ici pour vous voir. En dehors de tous les problèmes que j’ai dû régler, ma voiture est tombée en panne. Le pneu a éclaté, partout sur l’autoroute. Heureusement qu’il n’y avait pas de voiture derrière qui roulait vite.

Qu’est-ce qu’il y a, mon amour ? ( Je voulais juste demander comment cela va être pour nous maintenant que le maya est parti ? Quel est l’effet cela… ) Je vous l’ai déjà dit. Vous vous sentirez mieux, plus facile. ( Avec notre méditation et avec nous. ) Oui, bien sûr ! Que crois-tu ? ( Oh mon Dieu, j’adore Vos chiens et je suis désolée que quelque chose de ce genre soit arrivé Mais grâce à Votre chien, maintenant nous n’avons plus de maya ni d’énergies négatives. ) Oui, mais alors nous avons une grande responsabilité. On ne peut plus accuser autrui à présent. ( Merci. ) Maintenant, vous êtes seuls, vous devez donc faire attention à la façon dont vous parlez, dont vous agissez, dont vous pensez. Vous êtes le Bouddha, mais vous avez oublié. Vous êtes l’enfant de Dieu, vous avez oublié. Alors maintenant, vous devez travailler dur pour vous en souvenir. Maya a essayé de vous entraver, mais maintenant vous êtes plus libre, donc vous devez vous en souvenir et travailler dur. Ce sera peut-être plus rapide pour vous maintenant de réaliser votre Moi.

Et les gens de l’extérieur, c’est plus facile pour eux de s’entendre entre eux, de parler de paix. Et ils s’entraident de plus en plus maintenant. Vous regardez Supreme Master TV, vous voyez beaucoup plus de nouvelles positives maintenant. Et en Amérique, ils disent que 49% de la population d’Américains ne mangent pas de viande, ou boivent maintenant du lait végan. Du lait végétal, comme du lait d’amandes, du lait de riz, d’avoine, toutes sortes de lait. Du lait de noix. Quarante-neuf pour cent d’Américains font cela. Ils ont fait des recherches et ils font cela. Et 70% ne mangent plus de viande ou de produits animaux ou l’abandonnent lentement à présent. Ça c’est très, très, très important. Bon. C’est une nouvelle histoire.

Vous ne devez jamais oublier, même si c’est difficile, même si vous ne pouvez pas croire que vous êtes le Bouddha, que vous êtes de Grands Saints, vous devriez vous rappeler ce que je vous ai dit. Si vous ne me croyez pas, croyez en Jésus. Jésus a dit : « Ce que je fais, vous pouvez le faire, mieux. » et « Vous êtes les enfants de Dieu et le Saint-Esprit demeure en vous. » Alors, croyez en Jésus. Et le Bouddha a dit : « J’ai déjà atteint la Bouddhéité et vous l’atteindrez. Vous êtes le futur Bouddha. » Alors, croyez en ces Grands Êtres. Tous les Maîtres disent que vous êtes les enfants de Dieu. Personne n’a dit que nous sommes les enfants du diable, vous devez donc vous en souvenir. Et si nous sommes les enfants de Dieu, cela veut dire qu’au moins on est semblable à Dieu. Si ce n’est pas à l’extérieur, alors à l’intérieur. L’extérieur est juste un certain personnage avec lequel vous êtes né, ou que vous avez hérité des parents ou des circonstances, ou du milieu, ou de l’éducation. À l’intérieur, vous êtes pur. Vous êtes Dieu. Vous êtes les dieusses et dieux, les déesses. Vous êtes des Saints et vous êtes les Bouddhas, les Bodhisattvas.

Il y avait une histoire que j’ai lue quelque part, sur un homme qui se promenait quelque part dans la forêt, et il a vu un gros œuf d’aigle. Il l’a ramené chez lui et l’a mis avec les œufs de la poule, puis la mère poule l’a aussi faire éclore, les a fait éclore tous ensemble. Et quand le moment est venu, tous les poussins sont sortis, l’aiglon est aussi sorti. Ils sont tous sortis ensemble. Et l’aigle a vécu avec les poules, bien sûr, mangeait ce que les poules mangeaient, marchait comme les poules, parlait comme les poules, et courait comme les poules. Et un jour, l’aigle était déjà devenu très âgé. Et puis, un jour, il a levé les yeux au ciel, il a vu des aigles, de vrais aigles volant dans le ciel. Et il a demandé à la poule, une poule plus âgée qui avait plus de connaissances. « Qui sont-ils ? » Et la poule plus âgée a dit : « Ce sont des aigles. Ce sont les rois des oiseaux. Ils sont majestueux. Ils volent dans le ciel. Ils vont d’une montagne à une autre. Ils se nourrissent d’aliments purs et ils boivent des courants les plus purs. Et qui sommes-nous ? Nous ne sommes que des poules. Nous ne pouvons pas voler. Nous nous contentons de ramper ; nous mangeons tout ce qu’on nous donne à même le sol. » Donc, le vieil aigle a aussi accepté cela. Toute sa vie il a été une poule. Alors maintenant il pense : « Oh oui, bien sûr, nous sommes des poules. » Et il a continué à vivre sa vie de poule, comme ça jusqu’à sa mort. N’attendez pas d’être plus âgé, et de regarder le ciel et de voir tous les aigles invisibles volant partout, ou d’autres initiés proches vous dépassant. N’attendez pas. Méditez bien. Travaillez dur à vous libérer.

Vous êtes déjà une âme libre, vous n’avez qu’à le savoir. Vous devez juste le savoir. Tout comme vous êtes né en tant que prince, vous êtes un petit. Tout le monde dit que vous êtes un prince, mais vous ne savez pas ce que prince veut dire. Pourtant, vous devriez vous en souvenir car on vous dit que vous êtes prince. Et puis plus tard en grandissant, vous saurez ce qu’est un prince. De même, en ce moment vous êtes nouvellement initiés, vous ne vous souvenez pas de grand- chose. Vous ne comprenez pas grand-chose, mais vous deviendrez grandeur et majesté princières.

Le monégasque devrait le savoir. Quand le prince Albert était petit, il ne comprenait probablement pas ce que signifiait d’être un prince. Et maintenant il est roi. Il savait bien avant qu’il ne devienne roi qu’il était prince. Mais quand il était jeune, il ne le savait pas. Avez-vous la chance de le voir parfois ? Non, hein ? Juste en regardant de loin. Mais ils sont à Monaco, ils peuvent voir. (Oui, c’est possible.) Très loin, n’est-ce pas ? Je sais. Je sais. Je sais. Très loin. OK, peu importe. C’est bon, juste pour demander. Si tu le vois, passe-lui le bonjour. (Il saura, il le verra peut-être) Oh oui, j’ai oublié. Je le lui dirai. Dis-lui bonjour de ma part. Le monde est petit. Il travaillait pour moi avant, avec moi et il m’aidait à m’occuper de ce dont je ne me souvenais pas, à conduire, à nettoyer les casseroles et les poêles, et à manger, oui mes plats. Et puis j’ai voulu apprendre à piloter un hélicoptère, je l’ai fait. Mais ensuite j’ai dû déménager, et puis je l’ai appris dans un autre pays par la suite. Je l’ai fait, j’ai piloté, j’ai pu, c’est juste que je n’ai pas pu continuer. Parce qu’il faut faire beaucoup d’efforts pour garder le brevet. Plus vous êtes âgé, plus de tests, de tests sanguins, de tests oculaires, de tests auriculaires, de tests nasaux, test du menton, test capillaire, quel que soit le test. Et vous devez voler souvent pour respecter le nombres d’heures de vol nécessaires pour continuer à être un pilote. Non seulement la forme physique, mais aussi il faut des heures de vol. Exigence minimale pour conserver le brevet de pilote. C’est pour votre propre bien, car si vous ne volez pas, vous oublierez, oublierez quel bouton sert à quoi. Et au lieu de vouloir monter, vous vous cognez contre l’arbre, alors ce n’est pas bon.

Voler n’est pas comme conduire. En conduisant vous pouvez arrêter la voiture sur-le-champ sur le trottoir ou n’importe où, vous reposer, ou demander votre chemin. Là-bas, les oiseaux ne vous disent rien. Ils ne savent pas où vous voulez aller, ils ne savent pas ce que signifie Monaco, quelle direction vous donner. C’est différent ; piloter est une toute autre histoire. Mais j’ai tellement aimé ça, j’ai beaucoup apprécié. J’aurais aimé pouvoir continuer, mais j’étais trop occupée. C’est amusant. C’est amusant quand on voit le pilote, il peut retourner l’avion, et votre estomac tombe dans votre nez ; c’est ce que l’on ressent. Et à ce moment-là, vous vous souvenez de Dieu, à coup sûr. C’est un bon point. Cela a un bon point. Au moins vous gagnez des points, à vous souvenir de Dieu dans certains moments. Quand on voit parfois dans le ciel, l’avion ou l’hélicoptère, ils manœuvrent pour faire du spectacle, ça a l’air très amusant. Mais quand on est assis dedans, surtout quand on n’est que co-pilote, qu’on ne pilote pas, et qu’il fait ce qu’il veut avec votre estomac Et que vous ne savez plus où se trouve votre cœur. À ce moment-là, il est bon de se souvenir du Maître ou de Dieu ou des anges, qui que ce soit.

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