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Titre
Transcription
À suivre
 

Entre Maître et disciples / La vie du Seigneur Mahavira

Le Maya est parti et La vie du Seigneur Mahavira : La délivrance de Chandana, partie 3/7

2020-08-14
Lecture Language:English
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Il en va de même pour les animaux, c’est pareil avec les feuilles et les buissons et les fleurs. Même les tables leur parlent, réagissent de différentes manières. Tout est vivant pour les personnes aveugles. Ils voient de la lumière partout, émaner de tout, et à l’intérieur de tout, et en eux-mêmes. Et ils comptent sur cette lumière, cette énergie, cette amitié tranquille qui les aide dans leur vie quotidienne.

Même nous, les humains, ne pouvons pas lutter contre elle, sans parler de ma petite chienne. Donc, j’allais la punir, comme ne pas la laisser me voir, ne pas lui donner de friandises, ne pas lui donner de collations. Mais ensuite, après avoir dit cela, et elle s’est sentie très très désolée, très, très mal, j’ai dit : « OK, ne t’inquiète pas. Je vais m’occuper de ce type. Je vais m’occuper de lui. Tu n’es qu’une victime. Je te pardonne. Je te pardonne vraiment et je t’aime. » Et on s’est embrassées, on s’est réconciliées. Mais ensuite j’ai dit : « Je vous promets tous que je vais, je vais vraiment m’occuper de ce maya et du pouvoir négatif. » Et je l’ai fait.

Je suis très heureuse de l’avoir fait. Je ne suis pas sûre d’être heureuse, mais je ne suis pas triste. Je ne suis pas triste. C’est peut-être aussi comme vous ; nous avons ce cerveau physique. Et il m’a fallu du temps pour réaliser ce que nous avions fait, moi-même un peu et tous les Dieusses et tous les Êtres Cosmiques bienveillants. Maintenant qu’Ils sont déjà unis, Ils sont donc puissants maintenant, plus puissants qu’auparavant, quand Ils étaient comme divisés en deux groupes. Déjà unis, donc nous avons plus de paix. Et maintenant, je Les ai Tous rassemblés, je pensais qu’Ils pouvaient le faire. je pensais qu’ensemble, nous pouvions y arriver. J’ai dit : « Prenez tout ce qu’il Vous faut de moi. Prenez tout ce dont Vous avez besoin de la réserve d’Énergie du Tout-Puissant. Prenez, tout ce dont vous avez besoin, prenez-le, afin de pouvoir détruire ce type pour l’instant, parce qu’il a harcelé, agressé, torturé, embêté de façon malveillante et s’est moqué et amusé de la souffrance des humains et d’autres êtres pendant longtemps, trop longtemps, longtemps, très longtemps. Alors, c’est le moment, fini. plus jamais ». Je ne réalisais pas l’importance de cela. Et maintenant que je vous le dis, je réalise un peu, parce que j’ai trop de travail à faire. Je n’ai pas eu le temps de le célébrer, mais j’ai vu tous les êtres célébrer partout, partout dans l’Univers. Ils chantaient, criaient, sautaient. Ils le font encore maintenant. Ils célèbrent encore.

Mais moi, dans la dimension physique, trop occupée, trop occupée. Chaque jour, je suis tellement occupée que même lorsqu’ils m’amènent un seul repas par jour, je ne peux parfois pas arriver à l’heure pour le manger car il y a toujours quelque chose à faire. Le travail physique. Et si ce n’est pas le cas, je dois aller à l’intérieur faire le travail intérieur, pour aider à renforcer la foi et l’énergie des gens, afin qu’ils continuent à méditer et à être fermement sur leurs chemins vers leur plus Grand Soi ou leur Soi Dieu. Donc, je suis très occupée aussi. Et je dois aussi vérifier les différents coins de l’Univers, ce qu’il faut et qui a besoin de quoi.

Et je dois même vérifier mes chiens, quel genre de choses je peux faire pour eux. Et j’avais beaucoup à faire. En dehors de la thérapie physique pour eux, je dois aussi faire quelque chose. Thérapie. C’est du français - thérapie. N’est-ce pas ? Non ? Vous n’entendez pas ? Et donc, parfois je parle avec un accent français. C’est le même mot. C’est juste qu’en anglais, j’ai dit « Therapy, the-ra-py ». Et les Français disent « thérapie ». Et nous disons « hôtel », ils disent (h)ôtel. C’est très (h)ot (h)ere. Vous vous souvenez de ma blague ?

Un agent anglais vend une maison. Deux clients regardent la maison. Un Anglais parle un peu le français. Il en est persuadé. Et un Français parle un peu d’anglais. Il en est persuadé. Ainsi, quand il est entre, comme ils ont simplement ouvert la porte en été et qu’il n’y a pas de climatisation, rien à l’intérieur, donc il dit, « Oh, it’s very (h)ot (h)ere. » Ce qui veut dire : il fait très chaud ici. Mais les Français, ils ne prononcent pas le « h ». Ils disent « ôtel » au lieu de hôtel. Donc « hot », ils le disent « ot ». Donc il a dit : « Your (h)ouse very (h)ot (h)ere. » Il fait très chaud chez vous. Et l’agent a dit : « Quoi ? Quoi de bizarre dans mon oreille ? Et pourquoi devrais-je être dehors ? » « Your house» donne : « you out ». « Your (h)ouse very (h)ot (h)ere ». Alors, il était en colère et il a dit : « Pourquoi devrais-je sortir ? Et en quoi mon oreille est bizarre ? Alors le Français dit : « No, no, the air (h)ot ». L’Anglais a essayé d’aider à calmer l’agent. Il a dit : « Non, non. Il voulait dire que vos cheveux sont bizarres, pas votre oreille ». Ainsi, parce que les Français ne prononcent pas le « h ». alors quand il a dit : « The air ‘ot », les Anglais comprennent : « Oh, OK. Il dit que les cheveux sont bizarres ». Aider parfois cause des problèmes lorsque vous ne parlez très bien la langue. Et j’ai été dans toute l’Europe, parfois je parle comme les Allemands. Je dis toujours à mon assistant : « Ta voiture kaput ? » Et elle dit : « C’est quoi kaput ? » Thaïe. « C’est quoi kaput ? Que signifie kaput ? Je ne comprends pas ». J’ai dit : « Kaput. Tu sais kaput, kaput, kaput ! » Elle comprend un peu l’anglais. Et j’ai oublié mon anglais. Quand je parle trop vite, Parfois, j’oublie ce qu’est kaput en anglais. Ou je dis quelque chose, je dis, « C’est ça ! C’est ça ! Tout va bien ! Tout va bien ! Très bien ! Et ils ont dit : « Qu’est-ce que c’est, Maître ? Qu’avez-Vous dit ? » Et j’ai dû réfléchir un peu. « Je veux dire que c’est très bien, très bien. Vous avez fait du bon travail ».

Nous avons ce problème avec nos facultés physiques. C’est bon pour nous, nous pensons que nous avons les yeux intacts, que nous avons la langue intacte, que nous pouvons nous parler, que nous pouvons nous voir, apprécier les choses, de belles choses à l’extérieur, mais parfois ces choses sont une entrave, un grand obstacle plus qu’une aide. Certains aveugles, les enfants aveugles, à l’origine, ils pouvaient voir, mais ensuite une certaine maladie les a rendus aveugles quand ils étaient jeunes, par exemple à 6, 7, 8, 9 ans. Depuis le début, ils ont peut-être des difficultés. Ils peuvent se heurter à des choses parce qu’ils ont l’habitude d’aller par ici, par là et d’utiliser leurs propres yeux, et d’utiliser leurs mains pour le faire, pour faire cela. Mais une fois qu’ils sont aveugles, ils oublient qu’ils ne voient pas les choses, donc ils se heurtent à des choses. Ou ils utilisaient leurs mains pour prendre la tasse, mais ils ne la trouvent pas parce qu’ils ont l’habitude de faire les choses avec des yeux physiques et des oreilles physiques. Mais lentement par la suite, ils sentent qu’ils n’en ont pas besoin. Les choses ne font que rayonner de l’énergie vers eux et ensuite ils savent où se trouvent les choses.

Donc, parfois, lorsque certaines personnes conduisent une voiture pour sortir et que vous dites : « Que la route s’élève pour vous rencontrer ». C’est vrai pour les gens aveugles, pour les enfants aveugles au moins, quand ils étaient encore jeunes et innocents. Il est plus facile pour eux de s’adapter aux nouvelles choses. Et ils réalisent que les choses ne sont pas ce qu’elles paraissent. Comme par exemple, l’arbre n’est pas seulement grand comme ça, mais leur environnement, leur énergie, leur champ magnétique est plus grand. Ils sont vraiment plus grands qu’ils ne paraissent. Il en va de même pour les animaux, c’est pareil avec les feuilles et les buissons et les fleurs. Même les tables leur parlent, réagissent de différentes manières. Tout est vivant pour les personnes aveugles. Ils voient de la lumière partout, émaner de tout, et à l’intérieur de tout, et en eux-mêmes. Et ils comptent sur cette lumière, cette énergie, cette amitié tranquille qui les aide dans leur vie quotidienne. Et aucune chose ne leur manque. Aucune chose ne leur manque.

Un des maîtres zen a également dit la même chose : « Il aurait été préférable que je sois aveugle, sourd, et stupide au début. » Parce que ce n’est qu’après que nous retirons notre véritable attention de tous ces organes physiques extérieurs, que nous pouvons vraiment entrer à l’intérieur du Royaume. C’est pourquoi, lorsque vous vous calmez, que vous méditez, ou pendant la période d’initiation, vous vous calmez, vous n’avez à vous inquiéter de rien d’autre à ce moment-là, parce que vous savez que le temps de votre initiation est venu et vous y aspiriez vraiment depuis si longtemps, donc vous y prêtez toute l’attention. Par conséquent, vous voyez votre Soi, la lumière (Céleste intérieure) et vous entendez les paroles de Dieu. Les Mélodies sont votre vibration intérieure. Normalement, nous comptons juste sur nos yeux pour voir les choses ; nous ne voyons pas de Lumière (Céleste intérieure) . Nous comptons sur les oreilles ; nous n’entendons rien de la Musique Céleste intérieure. Être aveugle n’est pas si mal. Quand Jésus était vivant, on dit qu’Il pouvait guérir les aveugles. C’est grâce à l’initiation. Pendant l’initiation, nous avons eu quelques disciples aveugles auparavant. Ils voient tout. Ils voient la Lumière (intérieure), parfois mieux que vous, parce qu’ils n’ont rien pour les distraire dans le monde extérieur.

Je crois que je vais m’asseoir. Mes talons hauts me disent d’aller m’asseoir. En fait, je ne savais pas pourquoi je devais porter des talons hauts jusqu’à ce qu’ils déterrent toutes les prophéties. Puis j’ai dit : « Oh, voilà ! Pas étonnant que je sois destinée à porter de beaux vêtements. Les talons hauts sont déjà arrangés à l’avance par le Ciel ». C’est pour changer, non ? Jusqu’à présent, tous les Maîtres ou le Bouddha, Ils étaient tous très ascétiques et très austères. C’est un changement pour vous de voir une dame avec de beaux vêtements et de belles chaussures et de beaux bijoux. Non ? Parce que la pratique est à l’intérieur. Mais de toute façon, j’aurais souhaité ne pas avoir à faire tout cela aussi. Cela prend beaucoup de temps. Bien sûr, je médite sur ça. Je fais la méditation pendant que je fais ceci et tout cela. C’est aussi une bonne méditation, mais j’aimerais ne pas avoir à méditer de cette façon. C’est plus confortable quand vous vous emmitouflez dans une couverture, que vous vous asseyez sur votre canapé, que vous fermez les yeux aussi et que vous vous reposez au lieu de devoir vous concentrer à l’intérieur et à l’extérieur en même temps. « Oups. C’est celle-là ? Oh non, non, ce n’est pas la bonne. Oh, je ne peux pas, je ne peux pas. Je ne peux pas faire cela. C’est un crochet, c’est trop difficile, trop petit ». Ils font cela pour les dames qui ont beaucoup de temps. Le temps, c’est ce que je n’ai pas. J’ai tout le reste. Très peu de temps.

J’étais plus gentille avant. Je veux dire, parlant plus lentement, et plus doucement et patiemment. Aujourd’hui, je dis : « Droit au but. SVP, ne parlez pas si longtemps. Je n’ai pas le temps. Vraiment, je ne l’ai pas. » Et parfois, le médecin a essayé de m’expliquer mes médicaments. J’ai dit : « D’accord, docteur, vous l’écrivez et me le faxez. » C'est-à-dire que je peux le lire plus rapidement. Et j’oublie même de prendre les médicaments de toute façon, donc je sais que je les prends juste parfois quand j’en ai besoin, quand je m’en souviens.

Même le médecin sait déjà que je n’aime pas beaucoup les médicaments, même les compléments ou les choses qui sont bonnes pour vous, quand on est âgé comme nous, pour les personnes âgées et tout cela. Il voulait bien faire, mais il sait que j’oublie de les prendre de toute façon, alors il a réduit ça à seulement trois sources maintenant, seulement trois, et une seule fois par jour. Trois médicaments, pas vraiment, des compléments alimentaires. Et une seule fois par jour. J’ai encore oublié. J’ai dit : « Docteur, j’oublie même de me laver le visage le matin. » « Comment pouvez-vous oublier ? » J’ai dit : « J’oublie tout simplement. » Je sors de ma méditation ou de mon sommeil ou de ronflement ou quoi que ce soit, et puis je saute et puis j’y vais et alors je vois les documents juste devant moi. Alors, je suis accrochée là, j’oublie tout le reste.

Même la nourriture juste devant moi, Je ne mange pas avant que tous les documents soient faits. Mais je ne peux pas leur dire d’apporter ma nourriture en premier et d’apporter les documents plus tard, car c’est beaucoup de travail pour une personne. On est tous occupés. Et une personne s’occupe de mettre des aliments dans un récipient et de me l’apporter ainsi que les documents, parce que nous ne vivons pas ensemble. Et les filles sont occupées avec des choses différentes. Donc, il y a un garçon, mais il ne me dérange pas, et c’est bien. Je préférerais qu’il soit une sœur, pour que je n’aie pas à m’inquiéter du transfert d’énergie. Peut-être que vous dites cela. Peu importe, il ne me dérange pas, mais je ne veux pas qu’il aie à toujours venir, à faire des allers-retours, des allers-retours.

Moins il y a de monde, moins il y a d’échanges d’énergie, mieux je me concentre. Moins il y a d’intrusion d’énergie extérieure différente, mieux c’est pour moi. Bien sûr, quand je viens ici, alors vous êtes des milliers, je ne peux rien contrôler. Tout est fini. Pas de problème. Mais quand je suis à la maison, j’essaie de me concentrer davantage, pour pouvoir travailler efficacement à l’intérieur et à l’extérieur. C’est donc aussi cela. Mais je ne veux pas non plus faire travailler les gens plus que nécessaire parce que les garçons, ils vivent ensemble au même endroit et j’habite loin, à distance, avec des chiens. Et l’assistante pour les chiens va et vient, va et vient. Quand il est temps de s’en occuper, elle vient ; quand ce n’est pas le cas, elle rentre chez elle. Alors, je l’ai laissée se reposer. Parfois, j’ai besoin de quelque chose et je l’appelle. Et je lui ai dit : « Que fais-tu maintenant ? » Elle a dit qu’elle mangeait. Alors j’ai dit : « Non, non. Alors tu manges. Tu manges. Peut-être plus tard. »

Je ne veux pas déranger les gens quand je n’ai pas à le faire. Ils sont prêts à le faire. Je ne veux simplement pas abuser de leur gentillesse. Et avant, ils avaient l’habitude de m’apporter le petit déjeuner tôt le matin, puis en fin d’après-midi, le déjeuner. Le petit-déjeuner et le déjeuner ; nous avons deux repas par jour. Mais plus tard, j’ai dit : « Tu n’as qu’à apporter le déjeuner, c’est suffisant. » Parce qu’il doit se réveiller tôt le matin, prendre sur son temps de méditation ou prendre sur son petit bout de temps de paresse au lit, et les autres frères, sœurs doivent également se lever tôt afin de vérifier les documents et les imprimer pour moi. Donc, au moins 3, 4 personnes doivent se lever tôt. Ainsi, ils ne peuvent pas méditer à ce moment-là. Ou peut-être qu’ils sont fatigués de la nuit dernière et de travailler tard et ne peuvent pas se reposer le matin, alors après, j’ai supprimé le petit déjeuner. J’ai dit : « Apportez-le plus tard. Et les documents aussi apportez-les plus tard. » Ainsi, ils pourraient se reposer davantage, méditer le matin. Et même dans ce cas, je n’ai pas si faim que ça. Quand je vois les documents, « Ouah ! » Je suis plus intéressée par cela que par mon repas. C’est donc comme ça.

Peut-être que nous en parlerons. Nous parlerons du Seigneur Mahavira. Très bien. Restez là. Une histoire. Ce n’est pas l’heure de se coucher. Nous avons encore du temps ? (Oui.) Quoi ? ( Comment va Good Love ? ) Il va mieux maintenant. Je pensais qu’Il ne s’en sortirait pas parce qu’Il a tellement pleuré. Normalement, Il ne pleure pas. Ce n’est pas une mauviette. Il n’aboie même pas lorsque ce n’est pas nécessaire. C’est un type très calme, et il a tellement pleuré que mon cœur ne pouvait pas supporter. Mais c’est bien comme ça, cela m’a donné une motivation pour supprimer le maya. Sinon, je suis trop occupée, j’oubliais ce type, il m’embêtait tout le temps. J’ai eu une bonne excuse cette fois-ci. J’ai dit : « Tu as même utilisé un très sale tour pour qu’une fille morde la mère ; c’est trop méprisable. Je ne peux pas te permettre de rester encore ici. » C’est fini. J’étais vraiment en colère, vraiment dégoûtée. J’ai dit : « Si tu veux négocier quelque chose, traite avec moi. Ne harcèle pas mes chiens. C’est pire que tout ce que je peux imaginer de méprisable. Donc, tu n’es même pas digne que je pense à toi. Tu dois partir ». Heureusement, je suis un peu futée, je peux faire beaucoup de choses et rapidement. Mais si j’étais moins futée, il y aurait plus de fois, plus de problèmes. Et si je parlais même plus lentement, prenant plus de temps, je n’aurais pas assez de temps pour vous. Donc, j’emballe tout très rapidement, je mange tout en travaillant avec les documents ou en regardant quelques clips que je dois éditer. Oui ! C’est très facile.

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