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À suivre
 

La prestigieuse Oxford Union Society, vieille de 200 ans, est entrée dans l’histoire en soutenant publiquement le véganisme : L’équipe végane a remporté le débat... partie 3/3

2024-03-10
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Joey Carbstrong (vegan): Seuls 110 milliards d’êtres humains ont existé dans l’histoire de notre monde. Nous tuons plus d’êtres sentients et sensibles que cela en seulement six semaines, selon les estimations les plus prudentes. Et tout cela pour des produits futiles et inutiles. Ces chiffres sont insondables. Nous parlons de 1 à 3 billions d’animaux terrestres et marins chaque année. Si une telle atrocité était commise à l’encontre des humains à une telle échelle, il s’agirait d’un nouvel Holocauste démesuré.

Mais pourquoi leur vie est-elle ignorée ? Tout comme le racisme ou toute autre forme de discrimination, tout commence dans le mental. Le spécisme. Vous avez peut-être déjà entendu ce terme. Tout comme le racisme, il s’agit essentiellement d’une discrimination fondée sur l’espèce. C’est la raison pour laquelle nous aimons et prenons soin des chiens, mais que nous destinons les porcs à des fermes industrielles infernales et à une horrible chambre à gaz CO2 pour qu’ils y souffrent et y meurent. Le spécisme est une forme de suprématie humaine – « nous sommes les plus importants, c’est pourquoi nous choisissons qui vit et qui meurt ». Où avons-nous déjà entendu cela ?

Vous entendrez souvent l’expression « abattage sans cruauté », comme si le fait de mettre le mot « sans cruauté » après le mot « abattage » nous exonérait de toute faute morale. Pourriez-vous imaginer que quelqu’un parle de « viol sans cruauté » ? D’esclavage sans cruauté ? Quid d’un génocide sans cruauté ? Toute personne décente se moquerait de cette idée. Pourtant, lorsqu’il s’agit de tuer des animaux, il n’y a soudain plus aucun problème. En principe, l’abattage sans cruauté est un mythe, un conte de fées. Il ne sert qu’à rendre le tueur plus à l’aise avec l’idée de tuer et n’a rien à voir avec les droits de la victime. Si les droits des animaux étaient réellement respectés, leur droit de continuer à vivre le serait aussi.

Mettez-vous à la place de la victime. Considéreriez-vous toujours l’abattage comme étant sans cruauté si c’était vous qui avanciez vers la ligne de mise à mort ?

« Arrêtez l’abattage des animaux-personnes, c’est un meurtre, c’est contre la Loi de Dieu. » ~ Maître Suprême Ching Hai (végane)
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