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À suivre
 

La vie du Seigneur Mahavira : continuer à jeûner pour sauver Chandana, partie 1/5

2020-09-17
Lecture Language:Mandarin Chinese (中文),English
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Seulement si vous ne vous souvenez plus que vous êtes un homme ou une femme ou bisexuels ou lesbiennes ou gays ou travestis ou pas travestis, vous vous êtes transformés. Puis vous transcendez vraiment tout cela, alors vous pouvez devenir Bouddha.

Bonjour. Est-ce trop lourd ? Costaud. Maintenant, je sais pourquoi il y a des hommes dans le monde. Ils sont là pour porter ça, car vous les filles ne pouvez pas le faire. Bonjour ! (Bonjour, Maître.) Bonjour.  Je suis désolée que mes yeux n’aillent pas bien, je dois donc porter des lunettes comme ceci. Pouvez-vous encore me voir ? (Oui.) Pouvez-vous voir mes yeux ? Je vous aime. Le nombre de garçons augmente, n’est-ce pas ? (Merci.) Vous devenez compétitifs. Vous êtes-vous organisé pour que les sœurs âgées s’assoient à l’arrière ? (Oui.) Pourquoi y en a-t-il si peu ? Bonjour. (Bonjour, Maître.) Bien. Je veux voir les gens. Âu Lạc (Viêtnam), hein ? C’est ça ? (Oui.) Chine ? Âu Lạc (Vietnam) ? ( Oui, Âu Lạc (Vietnam). ) ( Bonjour Maître. ) Bonjour. ( Bonjour, Maître. ) Comment allez-vous ? Bonjour. (Nos salutations, Maître.) Bonjour, bonjour, Moines.

Est-ce que la plupart des gens me voient quand je suis assise ici ? Oui? (Oui.) Je suis très, très impressionnée de la façon dont vous dirigez votre vie. Je ne sais pas comment vous faites ça tous les jours. Je ne fais ça qu’un dimanche et ça me demande déjà beaucoup d’effort. Comment faites-vous ça tous les jours ? Vous allez au travail et revenez ; vous cuisinez, vous nettoyez, faites les courses ; vous embrassez le mari, l’épouse, vous vous couchez, vous embrassez les enfants. Vous tondez le gazon, vous arrosez votre jardin. Vous faites tout cela. Comment faites-vous tout cela ? Et chaque jour. Je veux dire, chaque jour vous allez travailler, et vous revenez, faites une autre tâche, et vous survivez. Et vous méditez quand même deux heures et demie par jour ? Non. Deux et demi, mais peut-être des heures. Ouah. Pas étonnant que ce soit très difficile de s’élever. Bouddha, quand Il était vivant, Ses disciples étaient tous des moines, au moins deux mille, deux mille et plus. Tout ce monde ne faisait rien. Sans travail, sans femme, sans enfants, sans souci. Je n’ai pas besoin de ceci. Vous pouvez encore me voir ? Non ? ( On peut Vous voir. ) Vous pouvez voir ici mais pas eux.

Mes yeux me font mal, mon nez commence à couler, dès que j’ai dit : « Bon, je dois y aller. » Je parlais de devoir venir ici, alors mon nez a commencé à couler, mes yeux ont commencé à souffrir. La dernière fois, ce n’était pas si mal, mais le karma de l’initiation vient après, lentement. Parfois, il vient avant ; parfois, il vient exactement le jour de l’initiation ; parfois, une moitié ou un quart vient avant et puis il vient pendant l’initiation, puis un peu plus vient après coup. Parfois, il vient après. Et ouah, je fais vraiment un effort pour venir ici, avec tout ce foulard et tout ça. Je pense que je suis Superwoman,  étant donné ce que je ressens. J’essayais vraiment de négocier. Je ne cessais de demander à tout le monde : « combien de gens ? Combien d’occidentaux ? Combien de nouveaux ? Quelqu'un qui ne m’a pas vue avant et reste un peu plus longtemps, peut-être quelques jours de plus, ou une autre semaine ? » Je négociais, essayant de voir si peut-être je pouvais venir les voir demain ou le lendemain, quand je me sentirai mieux. Mais non, quelqu'un s’en va demain. Deux ou trois personnes, et puis deux partent le lendemain, ensuite 5 autres partent un autre jour. J’ai perdu. Vous gagnez, vous gagnez, vous gagnez. Je pense que je veux…

Ce serait peut-être mieux si vous vous rasiez tous la tête et deveniez comme ça pour moi. Alors chaque jour, je vous enverrais tous à pied faire l’aumône, puis à votre retour, je ferais déjà la sieste, puis je me réveillerais et vous parlerais. Ensuite, je me raserais aussi la tête à nouveau, pour vous accompagner, que vous ne vous sentiez pas trop mal. De toute façon, je ne peux pas faire grand-chose. Parfois, je peux sortir du Samadhi facilement ; parfois je ne le peux pas. Et c’est très difficile de sortir quand je ne peux pas sortir, comme aujourd’hui. Aujourd’hui, je suis comme une automate ambulante qui parle, quelque chose comme ça. Eh bien, je suis déjà ici, alors passons aux choses sérieuses. Je pensais qu’aujourd’hui je mettrais un peu de maquillage et essayerais de boutonner ou d’attacher quelque chose, et de porter mes bijoux, ou autre. Et ces choses ne fonctionnent pas ce crochet ne fonctionne pas, un bouton est trop récent, il ne serrait pas, et l’autre – le pantalon n’allait pas, ou autre, et les souliers la bouche ouverte, se moquaient de moi. Ce sont de nouvelles chaussures ! Pas celles-ci, pas celles-ci. Celles-ci sont différentes. Ce sont des anciennes. Auparavant, quand les gens fabriquaient des souliers, ils duraient longtemps, toute une vie. Aujourd’hui, beaucoup de mes souliers ne cessent d’ouvrir la bouche et de rire. Sans doute d’heureux souliers. Avant, je concevais des habits disant « Happy Yogi » (Heureux Yogi). Et maintenant, ils m’imitent. Ils ont conçu des souliers heureux – Des souliers Happy Yogi ou autre. Celles-ci ont l’air mieux, je vous vois. J’ai juste besoin qu’elles soient un peu plus grandes pour lire, mais je pourrais aussi lire comme ça. Avec les lunettes, c’est plus facile, c’est tout, des lunettes de lecture. Compte tenu de mon âge, mes yeux ne sont toujours pas trop mauvais. Alors qu’ils ont été harcelés toutes ces années, mais encore pas mal. Grâce à la méthode Quan Yin.

Alors, quand je faisais tout cet habillage et déboutonnage, alors j’ai pensé : « Oh, Bouddha Shakyamuni, Il avait tellement raison. Il avait tellement raison. » Il a dit : « Seuls les hommes peuvent devenir Bouddha, soyez heureux. » C’est ce que vous pensez. Je suppose que si on est un homme, on ne peut pas non plus devenir un Bouddha, vous non plus. Vous savez pourquoi ? Je vous l’ai déjà dit. Si vous êtes un homme, vous ne pouvez devenir Bouddha ; si vous êtes une femme, vous ne pouvez devenir Bouddha ; si vous êtes gays, vous ne pouvez devenir Bouddha ; si vous êtes lesbiennes, vous ne pouvez devenir Bouddha ; si vous êtes bisexuels, vous ne pouvez devenir Bouddha. Personne ne le peut. Seulement si vous ne vous souvenez plus que vous êtes un homme ou une femme ou bisexuels ou lesbiennes ou gays ou travestis ou pas travestis, vous vous êtes transformés. Puis vous transcendez vraiment tout cela, alors vous pouvez devenir Bouddha. Mais je pensais d’une manière physique. Les hommes, vous n’avez même pas à porter quoi que ce soit, juste arriver. En Inde, beaucoup de gourous, quelques gourous éclairés aussi, ne portaient pas grand-chose. Ceux que j’ai vus du moins. Ou peut-être simplement un pagne ou quelque chose, ou enveloppé dans quelque chose. Comme c’est pratique. Alors, je pourrais me passer de tous ces souliers de Cendrillon, de tous ces bijoux et tout ça. Alors ce serait très pratique, ferait gagner du temps. J’ai pensé que Bouddha Shakyamuni avait tellement raison. Si j’étais un homme, ce serait mieux pour moi. Je pourrais toujours me présenter en n’importe quoi ou même sans rien. Vous savez, n’est-ce pas ? Le peuple Indien, vous le savez, n’est-ce pas ? Les gourous, Ils s’en moquent. En Inde, ils s’en moquent. Et si je n’ai pas l’air ... Supposons que je sois un homme et que je n’aie pas l’air aussi joli qu’en ce moment, tout ce que j’ai à faire est de me faire pousser des poils sur le visage, alors j’aurai l’air bien. Ayant l’air digne d’un Gourou.

Assez de bavardage. Je suis déjà ici. La partie la plus difficile est de se préparer. Et quand je suis déjà ici, je suis réveillée. Je me sens mieux maintenant, je me sens plus éveillée maintenant que lorsque je suis arrivée. Je m’étais dit : « Je ne sais pas ce que je vais faire. » Dans mon état ce matin, je voulais me réveiller, vraiment. J’ai mis un réveille-matin et tout. J’ai bien réussi à me lever. J’ai essayé d’être normale. J’ai même fait un toast (végan), j’ai pensé alors que je mangerais un toast pour calmer mon estomac. Je ne me sentais pas si bien ces jours-ci. Puis j’ai préparé un toast ; J’ai brûlé une tranche de pain. J’ai fait un autre toast ; J’ai brûlé une autre tranche de pain. J’en ai fait une autre, une troisième, brûlée. Quatre toasts tous brûlés méconnaissables. Alors, j’ai dit : « OK, aujourd’hui n’est pas mon jour de toast. » Ensuite, j’ai simplement attrapé quelque chose et je l’ai bu. J’ai essayé de faire du thé, mais ensuite j’ai oublié. J’ai mis du thé, mais je l’ai oublié.

C’est un nouvel endroit. J’ai déménagé et c’est très désorganisé et fatigant et chaotique, parce que je n’ai pas encore eu le temps d’organiser mes affaires. Et j’ai peur de demander à quiconque de m’aider. Parce que parfois, quand je leur demande de m’aider, il aurait mieux valu que je le fasse moi-même. Ou je dois prendre d’autres déchets venant d’eux à la place et ce n’est tout simplement pas rentable. Par conséquent, j’ai l’impression d’être entourée de choses matérielles. J’aimerais que mon destin soit un peu plus léger que ça en ce moment, comme être un Baba, ou Babu, ou autre, ou même Mataji en Inde, et être simplement assise là, et étreindre les gens ou leur frotter la tête, et c’est tout ce que j’aurais à faire. Mon destin dans cette vie, hélas, est si compliqué : trop de travail, trop difficile, trop peu de temps, trop compliqué. Et je pensais en quittant la maison qu’alors ma vie serait comme la sienne ou la sienne – très simple. Deux, trois paires de vêtements, c’est tout ce dont vous avez besoin ; vous n’avez même pas à vous peigner les cheveux. Avoir des cheveux est un autre souci. Vous devez y mettre de l’huile ou quelque chose comme ça. Autrement, ça devient bzzz, bzzz comme ça. Et avoir à concevoir les bijoux. Je pensais être déjà là, mais je n’y suis pas encore. Très difficile parfois pour moi de rester sur cette planète. Très difficile. Plus difficile que vous ne le pensez.

Il y a encore beaucoup d’espace. Plus de personnes peuvent venir et s’asseoir ici, d’accord ?  Les Aulaciens (Vietnamiens), vous pouvez venir vous asseoir ici. S’il n’y a plus de place, alors ne montez plus. Si les billets sont épuisés, alors arrêtez. J’ai dit: « Il n’y a plus de place. Les billets sont épuisés. » Quoi ? Les billets sont épuisés. Vous aimez ? Chaque semaine, c’est complet. Heureusement que je ne suis pas une danseuse ou chanteuse ou autre. Sinon, les autres artistes qui dansent et chantent devraient peut-être et probablement se trouver un autre emploi. Combien de temps pouvez-vous rester avec votre visa ? (Nous partons mercredi.) Je sais, mais à combien de temps votre visa vous autorise-t-il ? (Seulement un mois.) Un mois ! Pas mal. Et combien de temps me permettrez- vous de rester en Inde si j’y vais ? Passeport britannique. (Je pense un mois.) Un mois ? Même chose. Avant nous avions l’habitude d’avoir comme six mois. Puis nous pouvions prolonger à un an, il y a longtemps, quand j’étais un petit yogi quelque part, et maintenant c’est difficile. Il faut aller à l’ambassade, obtenir un visa. Avant, on obtenait qu’un visa d’atterrissage ou autre. En fait, beaucoup de gens pouvaient rester s’ils le souhaitaient, mais de nos jours, c’est difficile. C’est parce qu’il y a eu des incidents, comme des étrangers sont venus et ont abusé de la gentillesse du peuple indien. Car le peuple indiens est très accueillant. Même s’ils n’ont pas grand-chose, ils donnent tout. Ils vous donnent tout ce dont vous avez besoin. Alors, le gouvernement a en quelque sorte essayé d’arrêter ce genre d’abus. Je ne les blâme pas. Le fait est que peut-être les étrangers n’ont pas vraiment voulu abuser de leur gentillesse. C’est juste qu’ils n’ont pas compris les traditions de l’Inde. Parce qu’on leur a donné et donné et donné, et ils ont pensé que ça allait. Ils aiment donner et ils ont encore quelque chose, c’est pourquoi ils peuvent donner, mais ce n’est pas vrai. Ce n’est pas vrai. C’est comme parfois, je ne cesse de donner et les gens pensent que j’ai beaucoup. Parfois c’est vrai, parfois non. Cela n’a pas d’importance. J’adore donner de toute façon, chaque fois que c’est nécessaire. Les Indiens, ils donnent simplement. Que ce soit nécessaire ou pas, ils vous traitent comme un Dieu. C’est la tradition. Et c’est toujours comme ça. C’est toujours comme ça en Inde. Tant de vos frères et sœurs indiens me demandent sans cesse d’aller en Inde. Alors, comment puis-je y aller ? Rester un mois et ensuite m’envoler, puis revenir ? Un va-et-vient, un va-et-vient comme ça ? ( Nous ne sommes pas sûrs, Maître. Nous ne sommes pas sûrs combien de temps Vous pourriez rester avec un passeport britannique. Peut-être qu’on peut vérifier… ) Peut-être trois mois maximum, non ? (Peut-être.)

Je me souviens qu’il y a longtemps, je suis retournée à… parce que j’avais été invitée à Pune ou quelque part, j’oublie, je pense qu’ils vous donnent trois mois, mais vous devez avoir un visa. Vous devez aller demander un visa. Même trois mois, c’est peu. Je ne m’assois que pour quelques... j’ai l’impression d’être assise pendant quelques heures, puis ça fait déjà trois mois. Ça passe très vite. Le temps passe si vite. Comme chaque jour, il semble que je n’ai pas encore dormi, alors que c’est déjà le lever du soleil. Et je n’ai même même encore rien fait, c’est déjà le coucher du soleil ! Par exemple. Dans ce monde, nous avons des problèmes avec le temps. Cela nous fait vieillir, cela fait que nous nous préoccupons des délais, des paiements, d’aller travailler à l’heure, d’aller à l’école à l’heure. Tout est lié au temps ; cela donne beaucoup de pression. Et je vous admire vraiment de pouvoir même travailler, élever une famille et méditer, et venir ici le dimanche, ou pendant deux, trois semaines. Je ne sais pas si vous êtes surhumains ou quoi. C’est vraiment très, très bien pour vous. Je suis fière de vous. Je ne suis pas très fière de moi parce que j’ai aussi des tendances d’artiste, dans mon être et parfois l’artiste prend le dessus sur moi. Je préfère sortir quelque part, prendre des photos, des vidéos ou autre, au lieu de venir vous voir. Mais aujourd’hui, je suis là. C’est bien. C’est bien.

Je n’ai pas l’impression d’être une bonne gardienne de chien non plus. Avant j’avais l’habitude de les avoir tous autour de moi. De nos jours, je ne peux m’occuper que de deux, maximum, à la fois ; deux ou trois. Plus, je me sentirais plutôt fatiguée ou troublée, fronçant les sourcils, on vieillit plus vite avec les enfants. Je dois juste les laisser se relayer. Par exemple la nuit, c’est untel et untel, et le matin, c’est un autre et un autre, et l’après-midi, c’est untel et untel. Comme ça. Et puis ils viennent à tour de rôle. Ce n’est pas si mal. Mieux que rien, je crois. Je fais tout ce que je peux, mais c’est tout ce que je peux faire.

Il y a une blague sur un restaurant. À l’extérieur, ils ont dit : « Mangez tout ce que vous pouvez pour 5 $. » Vous savez, il y en a beaucoup en Amérique ou en Europe. Je ne sais pas si l’Europe en a, mais l’Amérique en a beaucoup… quand j’étais là-bas, j’en ai vu beaucoup. Et il y a une blague au sujet d’un des restaurants, c’est écrit à l’extérieur : « Mangez tout ce que vous pouvez pour 5 $. » Puis le gars est entré et a mangé, mangé, mangé, puis il est venu et en a pris plus, puis le propriétaire est sorti et l’a arrêté. Il a dit : « Non ! Pas plus ! »  Il a dit : « Mais vous l’avez écrit dehors, cela dit : "Mangez tout ce que vous pouvez pour 5 $." » Et le propriétaire a dit : « C’est tout ce que vous pouvez manger. » « Mangez tout ce que vous pouvez. C’est tout ce que vous pouvez manger. »

OK, on ​​continue avec le Seigneur Mahavira, la moitié de l’histoire la dernière fois. « Le marchand était ému » de voir son sort et a vu qu’elle était en quelque sorte une fille noble et spirituelle. Elle n’était pas comme d’une basse classe ou d’une classe inconvenante, ou quelque chose comme ça. Alors, il a dit : « "Enfant, je suis le marchand Dhanavah. Je suis un adepte de Nirgranth Shramans et je vis dans cette ville. Je vois tes ennuis et je suis affligé. Si tu ne souhaites pas aller avec la courtisane, je ne permettrai pas que cela se produise. Je t’achèterai en payant cent mille pièces d’or. Viendrais-tu avec moi ? Viendrais-tu vivre avec moi en tant que ma fille ? » Alors, bien sûr. « Une princesse orpheline, vendue comme esclave, arriva à la maison du marchand Dhanavah. Mais sa femme, » encore, une autre, Mula, sa femme, « Mula, s’est mise à douter dès qu’elle a vu la divine beauté de la fille qui entrait dans sa maison. » Je me suis promis de regarder en direction des garçons et j’essayerai de le faire aujourd’hui. Je regarde toujours par-là – pas juste. « Au moment où Mula », la femme, « posa ses yeux sur Vasumati, elle vit une rivale pour les faveurs de son mari. Les graines du doute étaient semées, même pour son honnête homme. » D’habitude, elle lui faisait confiance en tant qu’homme et mari honnête, mari fidèle. Mais maintenant qu’elle avait vu une si belle fille entrer chez elle, elle doutait même de lui. Elle pensait que peut-être sa beauté avait enchanté son mari. C’est possible. C’est possible, car les hommes aiment la beauté.

J’aime aussi la beauté. Je ne suis pas un homme, mais j’aime toutes les belles choses. Je suis sortie et j’ai vu toutes les fleurs, et j’ai dit : « Oh, vous êtes si belles. Je vous capturerai en photo et vous serez immortelles. Vous aimeriez ça ? » Et toutes ont dit : « Oui, oui, oui ! » Et aujourd’hui, tous les oiseaux sont venus et, surprise, ils ont chanté tant de belles chansons. Je n’avais pas vu cela depuis que je suis arrivée ici, juste aujourd’hui. Ils ont chanté si fort, si fort, et si allègrement. J’ai pensé qu’ils aimeraient manger quelque chose. J’ai déposé du pain (végan). Ils ne l’ont pas mangé. Ils ont juste continué à chanter. Je n’ai pas vu ça même à Hsihu, tant d’oiseaux réunis. Des oiseaux sur chaque petite branche et ils chantaient, chantaient, si allègrement aujourd’hui. Cela m’a réveillée un peu plus. Alors, je les ai remerciés.

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